La fin du suspense, par Praline

Bon, bah finalement je ne vais pas avoir besoin de me déplacer à poney pour le restant de mes jours.
Je viens de décrocher mon permis.
Yeehaa!
Pour fêter ça, une montagne d'Erebor de petits fondants au chocolat.
Miam!



Première vidéo bricolage, par Praline

Nan, je rigole. Vous avez eu peur, avouez-le!
En fait, il ne s'agit pas de bricolage mais de récup'.
Et il ne s'agit pas non plus d'une vidéo, je n'ai ni le matériel, ni l'envie d'entendre ma voix enregistrée.
Mais, il reste que je ne viens pas (que) vous parler de ce que je ne vais pas faire!
Pour situer la chose, unes image de ce dont il est question, histoire de partir sur de bonnes bases.



(Un de ces jours il faut absolument que je vous parle de la Thé Box, en attendant vous pouvez visiter leur site.)
L'idée de cette récup' m'est venue après un drame des plus tragiques survenu il y a quelques jours, après avoir acheté un nouveau et très beau et très rose, vernis. A ongles.
(Je précise, ça pourrait être du vernis colle. Après tout, je parle récup' et bricolage.)
Après avoir testé ce vernis comme il se doit et m'être pâmée devant sa belle couleur fuschia, j'ai voulu le ranger avec ses copains dans leur boîte dédiée. Sauf que.
Sans être une nail artist (oulah, non), je commence à accumuler les flacons,
et j'ai soudain manqué de place. Dans l'instant, je me suis mise en quête d'une nouvelle boîte. Non, ma quête à moi n'a pas impliqué une montagne et une horde de nains poilus mais solidement armés.
En fait je me suis contentée de pivoter sur ma chaise pour embrasser ma chambre d'un regard circulaire (on est littéraire ou on ne l'est pas). Et là, mes yeux (mascaratés si je me souviens bien) sont tombés sur une pauvre boîte vide qui n'attendait que l'occasion de se remplir.

Ni une ni deux je m'en empare et je file un coup de cutter sur les compartiments qui ne veulent plus rentrer (grande violence), d'où l'emploi (excessif je l'avoue) du terme bricolage.
Peu de temps après, les vernis sagement rangés dedans, j'ai dégainé mon appareil pour vous faire partager la raison de ma fièrtitude. Ne sont-ils pas trognons, sagement rangés dans leurs compartiments? Non?








 






(Il manque clairement du texte ici, mais je m'arrache les cheveux avec la mise en page alors on va faire sans, d'accord?)









 


En l'occurence, après une subtile réflexion de Camomille, j'ai opté pour un rangement horizontal afin de lutter contre l'affaissement progressif et inexorable du carton un peu trop mou. Les photos ne sont donc plus trop d'actualité, mais j'ai un peu la flemme de les refaire et à mon avis vous avez un assez bon aperçu de l'allure générale comme ça.
(En passant, c'est mon dixième article! Wouhou!)








A bientôt pour de nouvelles aventures!

Première Vidéo Maquillage, par Camomille



Musique: Boogie Belgique - Once Have I (http://www.auboutdufil.com/index.php?id=453)

J'espère que cette vidéo vous aura plu! Autant vous dire que j'ai fait des mégas coupes pour ne pas avoir une vidéo de 45 minutes, car finalement je suis assez bavarde devant la caméra!

Pour cette vidéo, j'ai utilisé:

Le teint:
Fond de teint: Diorskin Nude teint éclat effet peau nue 020

Anticernes: Diorskin Nude Concealer Anticernes perfecteur hydratant 001 ivoire
Poudre: Poudre Stop Brillance Clarins 010 Beige transparent
Blush palette Blush by 3 Coloris Lace 367 Sleek Make Up

Les yeux:
Sourcils: Ombre à paupières E.L.F Brownstone (posée avec mon mini pinceau)
Base Paupières: Urban Decay EyeShadow Primer Potion
Palette Storm Sleek Make Up (fards champagne irisé et marron mat)
Mascara Kiko Volume Attraction (c'est lui!)

Les pinceaux:
Expert Face Brush Real Techniques by Samantha Chapman
Blush Brush E.L.F.
Brosse à sourcils "goupillon" Make Up Forever
Blending Eye Brush E.L.F
Defining Eye Brush E.L.F.


Prise de sang, par Camomille


Demain je dois aller faire une prise de sang A JEUN, j'ai peur.

Des Gifs en folie, ou comment j'ai vécu la sortie de la bande-annonce du deuxième Bilbo, par Praline

Le titre dit tout, place aux images.

Au moment de la découverte de l'existence de la bande-annonce (sans connexion internet depuis hier, j'ai échappé à l'impatience du "oh mon dieu ça sort demain!!!"), je ressemble à ça :

 Pendant la vidéo, je ressemble à ça :
Après la vidéo, ma réaction était à peu près celle-là, avec beaucoup plus de cris hystériques (intérieurs, je tiens à la préciser).

Maintenant que mon rythme cardiaque est presque revenu à la normale, je m'en vais regarder cette merveille une troisième fois.

A bientôt!

Un peu de couleurs, par Camomille




Je profite de ce jour de grisaille pour partager mon petit jardinage de la semaine dernière. Un peu de couleur sur le balcon, c'est toujours agréable!

Des droits d'auteur (et autres joyeusetés), par Praline

Aujourd'hui, j'écris un post un peu différent de d'habitude (si tant est que l'habitude règne sur ce blog, ce que je n'espère pas). Sur une note plus personnelle.  Entendez par là  que je ne vais pas dévoiler ma vie privée (sans intérêt) mais que je vais parler de quelque chose qui ne concerne que ma petite personne, et pour cause. Je me lance.
Un matin, au lycée, je me suis littéralement réveillée avec une idée. Un pitch, comme on dit apparemment. L'idée d'une situation exceptionnelle ou plutôt extra-ordinaire qui aurait lieu dans un futur plus ou moins proche. En bref, un point de départ pour une histoire qui pourrait devenir assez palpitante. Je tiens à préciser que l'imagination n'a jamais été mon fort, donc trouver une idée solide par moi-même l'a rendue d'autant plus chère. Pendant l'été, j'ai écrit l'équivalent d'une page et demi, sans vraiment entrer dans le vif du sujet. Puis le projet a dormi. Je ne retrouvais pas l'état d'esprit dans lequel je l'avais commencé et cela me bloquait pour continuer.

Et puis, au début de cette année, j'ai eu le déclic. Le moyen de dédramatiser mon histoire m'est venu en m'inspirant d'un personnage absolument fascinant découvert dans l'incroyable, la fastueuse, la fabuleuse série de Robin Hobb, L'Assassin Royal. Pour moi, cette lecture a signifié bien plus qu"une série d'heroic-fantasy. La qualité du style, la complexité des personnages, le réalisme de l'univers, et surtout un personnage en particulier auquel je me suis attachée bien plus que je ne croyais possible. Entre chaque tome (je les dégustait au compte-goutte, pour m'imprégner de chacun comme si c'était le dernier), mes pensées étaient quelque peu hantées par cet être pas tout à fait humain, à la fois puissant et terriblement faible. C'est lui qui m'a inspiré un des personnages de la nouvelle à laquelle j'ai posé le point final à peine trois semaines après l'avoir reprise (un record de rapidité pour moi). S'en sont suivies plusieurs autres semaines de corrections, retraits, raturages, qui ont abouties à la version finale de ma nouvelle. Pour la première fois depuis que j'avais découvert l'écriture (au collège), j'avais terminé un projet et en étais fière. La faire lire à mes proches s'est révélé pour le moins difficile : beaucoup d'angoisse, d'impatience, d'appréhension. A mon grand soulagement, elle a reçu un accueil vraiment favorable.
J'ai décidé de l'envoyer à un concours qui me tenait vraiment à cœur car chaque participant, vainqueur ou non, recevrait une fiche de lecture détaillée, rédigée par un auteur professionnel et pleine de conseils. Par un malencontreux concours de circonstances, ma nouvelle ne leur est jamais parvenue. Mais au-delà de la frustration, cet incident a pris depuis hier un aspect inattendu.
Vendredi après-midi, en furetant sur un site de cinéma, je me suis retrouvée sur la page de présentation d'un film dont la bande-annonce venait de sortir. Je n'ai aucune idée de la façon dont je suis tombée dessus, puisque la catégorie "horreur-épouvante" me fait fuir comme la peste. Quoi qu'il en soit, mes yeux se sont égarés sur le résumé, et là mon estomac est tombé dans mes talons. J'y retrouvais, noir sur blanc, un synopsis ressemblant douloureusement à celui de ma nouvelle. A un ou deux détails près, pas plus (si ce n'est le genre), on pourrait le mettre en quatrième de couverture de ma nouvelle. La coïncidence ne m'a pas fait longtemps sourire. Rapidement, je me suis sentie trahie, volée. Une réaction sûrement exagérée, mais je tenais terriblement à mon idée, la seule que j'aie jamais eue qui tienne la route.

A présent, j'ai l'impression qu'elle ne m'appartient plus et qu'on peut m'accuser de plagiat. Le rapport avec le concours, me demanderez-vous peut-être? Sans ma participation, je ne peux pas prouver que j'ai écrit ma nouvelle avant d'avoir lu le pitch de ce film. Je ne peux pas prouver que j'ai eu toute seule cette idée à laquelle je me suis accrochée pendant au moins trois ans, le temps dont j'ai eu besoin pour la coucher sur le papier. Je ne me suis jamais consacrée à un projet personnel pendant si longtemps. Ma nouvelle n'est certes pas parfaite et ne sera peut-être jamais publiée, mais elle vient du fond de mon cœur et je ne peux pas supporter qu'on imagine le contraire.
Merci de m'avoir lue et félicitations d'avoir atteint la fin de ce pavé.

Comment relooker vos vieilles boites? par Camomille

Aujourd'hui nous allons parler travaux manuels. Ben oui, avec le temps pourri, il fallait bien trouver des occupations. Donc on relooke nos vieilles boites et autres contenants!
Voyons voir comment qu'il faut donc faire:


Alors vous découpez ce que vous voulez aux dimensions que vous souhaitez, vous essayez de faire un joli montage (ou au moins qui vous plait!).

Alors j'ai utilisé de la colle à reliure en plus du vernis-colle, mais on peut tout faire au vernis-colle, d'où son nom: vernis-colle. Il colle et il vernis. Vernis-colle. Eh oui, l'originalité ne sera pas passée par là, c'est moi qui vous le dit. Surtout qu'à bien y réfléchir, il aurait du s'appeler colle-vernis. Dans l'ordre logique des choses. Bref.

Donc j'ai collé avec de la colle à reliure (ce que j'avais sous la main au début en fait), et j'ai protégé tout ça avec une couche de vernis-colle donc (entre temps j'ai investi!).

Avec différents pinceaux suivant la surface de collage bien entendu.

Et voila, y'a plus qu'à! C'est bête comme chou et ça donne une seconde vie à ce qu'on customise (ce qui est le principe même de la customisation me direz-vous).

Alors je vous montre ce que j'ai fait.

Ça c'est une boite publicitaire mais que j'ai utilisée pour ranger mes vernis. Je la trouvais originale de par sa forme et elle s'ouvre comme un livre:




Et voici une autre boite pour ranger mes soins/crèmes/bazars qui ne rentrent pas dans mon tiroir à maquillage. A l'origine une boite toute noire toute simple, que j'ai un peu égayée:


Voila, ça donne un peu de couleur et de gaité!




Tiens, voilà du soleil, par Praline

Yeepee! Il s'était fait prier, mais le voilà enfin!
Non, je ne parle pas du DVD de Cloud Atlas, qui lui, pour le coup, va vraiment se faire prier, mais plutôt de ce coquin de soleil qui nous fait profiter de son retour depuis samedi. Du coup, me voilà enrhubée. Cherchez pas, il y a enfin du soleil, et j'attrape mon premier rhume ou presque de l'année. Mais ce n'est pas de microbes dont je veux vous parler aujourd'hui. Aujourd'hui, je vous donne des nouvelles de la première (et d'ailleurs la seule jusqu'à ce jour) recette postée sur ce blog. Mais si, souvenez-vous, ce n'était pas il y a si longtemps! Je n'avais alors pas eu le temps de dégainer mon appareil photo, mais je viens de refaire la recette et cette fois j'ai eu le temps. Pour fêter ça, j'ai même fait un petit avant/après pour essayer de vous mettre l'eau à la bouche :


(Une icône de la kawaïtude s'est cachée dans une de ces images, la trouverez-vous?)
Alors? I'z'ont-y pas l'air crousti-moelleux à souhait? Je n'ai pas poussé le vice jusqu'à en photographier un à moitié dévoré, donc il faudra me croire sur parole lorsque je vous dit qu'ils l'étaient. Crousti-moelleux (ils n'ont pas eu le temps d'être à moitié dévorés les pauvres).
Sur ces quelques images, je vous dit à bientôt, je retourne me ronger les ongles d'impatience (quoiqu'avec les milliards de paillettes qui y ont élu domicile, je n'en ai pas vraiment le coeur...).