Trois minutes cinquante de bonheur, par Praline

Bon, alors une fois n'est pas coutume, aujourd'hui c'est de musique qu'on va parler.
Non parce que quand j'ai vu ce clip, mon petit cœur a fondu.
La première chose que j'ai remarqué, c'est : sapristi, je connais cet endroit.
Il se trouve que j'ai fait passé deux semaines à Brighton avec une amie il y déjà deux ans, et que cette place ressemble fortement au premier endroit où nous avons déjeuné.
Déjà, ça commence bien : un flot de souvenirs remonte à la surface.
Une guitare se fait entendre. C'est beau. (Oui, un seul instrument me suffit. Quoi que j'aie du mal à croire qu'il soit le seul à jouer.)
Et là, James Bay se met à chanter. Et moi je fond. Franchement, c'est exactement le genre de voix que j'adore.
Pour moi, pas besoin d'avoir une voix parfaite. Je suis beaucoup plus émue par les aspérités et les fragilités, tant que ça ne veut pas dire que la personne chante faux.
Voilà, cette chanson est pour moi une parenthèse de douceur, et il ne m'en faut pas plus pour l'aimer.



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